Steakau poivre . Choisissez une recette classique de steak, comme le steak au poivre, ou steak au poivre. Dans un petit bol, mélanger 1 c. poivre grossièrement moulu, deux gousses d'ail hachées, 2 c. de gros sel, 2 c. raifort préparé et 2 c. l'huile d'olive. Placer 2 lb steaks de surlonge dans un bol en verre et le frotter sur la marinade
Sommaire Valeurs nutritionnellesBienfaitsBien choisirPréparationContre-indications et allergiesHistoireLe bœuf est la deuxième viande la plus consommée au monde, juste après la volaille. Dans les pays développés, nous avons même tendance à le consommer en excès, ce qui n’est pas sans conséquences pour notre santé. Pourtant, la viande de bœuf consommée avec modération et dans le cadre d’une alimentation variée et équilibrée pourrait avoir quelques avantages santé. Caractéristique du bœufRiche en protéines ;Excellente source de fer héminique ;Source de graisses saturées ;Doit être consommé avec nutritionnelles et caloriques du bœufQue vaut une portion » de bœuf ?Poids/volumebœuf haché, maigre, grillé, bien cuit, 100 gRôti de côtes croisées, pièce maigre, braisé, 100 gBifteck d’intérieur de ronde, pièce maigre, grillé, 100 gFoie de bœuf braisé, 100 gCalories252206163191Protéines28,0 g34,8 g30,1 g29,1 gGlucides0,0 g0,0 g0,0 g5,1 gLipides14,7 g11,3 g3,9 g5,3 g-saturés5,8 g4,1 g1,3 g1,7 g-monoinsaturés6,8 g4,7 g1,5 g0,7 g-polyinsaturés0,4 g0,4 g0,2 g0,6 gCholestérol81 mg82 mg65 mg396 mgFibres alimentaires0,0 g0,0 g0,0 g0,0 gZoom sur la composition de la viande de bœuf Le bœuf est une des viandes les plus consommées au monde. Si le choix du morceau importe pour conserver une alimentation variée et santé, toutes les pièces bénéficient globalement d’une teneur intéressante en vitamines et minéraux. Parmi ceux-ci, nous pouvons citer les suivants Phosphore le bœuf est une excellente source de phosphore voir notre fichePalmarès des nutriments Phosphore. Le phosphore constitue le deuxième minéral le plus abondant de l’organisme après le calcium. Il joue un rôle essentiel dans la formation et le maintien de la santé des os et des dents. De plus, il participe entre autres à la croissance et à la régénérescence des tissus et aide à maintenir à la normale le pH du sang. Il est l’un des constituants des membranes cellulaires ;Fer le rôti de côtes et le bifteck d’intérieur de ronde sont d’excellentes sources de fer pour l’homme et de bonnes sources pour la femme. Le bœuf haché est lui aussi une excellente source de fer pour l’homme, mais seulement une source pour la femme, car leurs besoins respectifs en ce minéral sont différents. Le foie de bœuf est quant à lui une excellente source de fer. Chaque cellule du corps contient du fer. Ce minéral est essentiel au transport de l’oxygène et à la formation des globules rouges dans le sang. Il joue aussi un rôle dans la fabrication de nouvelles cellules, d’hormones et de neurotransmetteurs les messagers dans l’influx nerveux. Il est à noter que le fer contenu dans les aliments d’origine animale est très bien absorbé par l’organisme, comparativement au fer des végétaux ;Zinc cette viande est une excellente source de zinc. Le zinc participe notamment aux réactions immunitaires, à la fabrication du matériel génétique, à la perception du goût, à la cicatrisation des plaies et au développement du fœtus. Le zinc interagit également avec les hormones sexuelles et thyroïdiennes. Dans le pancréas, il participe à la synthèse fabrication, à la mise en réserve et à la libération de l’insuline ;Cuivre le foie de bœuf est une excellente source de cuivre. Le bifteck d’intérieur de ronde est quant à lui une bonne source de cuivre. Cependant, le bœuf haché et le rôti de côtes en sont seulement des sources. En tant que constituant de plusieurs enzymes, le cuivre est nécessaire à la formation de l’hémoglobine et du collagène protéine servant à la structure et à la réparation des tissus dans l’organisme. Plusieurs enzymes contenant du cuivre contribuent également à la défense du corps contre les radicaux libres ;Sélénium le bœuf est une excellente source de sélénium. Ce minéral travaille avec l’une des principales enzymes antioxydantes, prévenant ainsi la formation de radicaux libres dans l’organisme. Il contribue aussi à convertir les hormones thyroïdiennes en leur forme active ;Vitamine B2 le foie de bœuf, le bœuf haché et le rôti de côtes sont d’excellentes sources de vitamine B2. Le bifteck d’intérieur de ronde est, pour sa part, une bonne source de cette vitamine, connue aussi sous le nom de riboflavine. Tout comme la vitamine B1, la riboflavine joue un rôle dans le métabolisme de l’énergie de toutes les cellules. De plus, elle contribue à la croissance et à la réparation des tissus, à la production d’hormones et à la formation des globules rouges ;Vitamine B3 le bœuf est une excellente source de vitamine B3. Appelée aussi niacine, la vitamine B3 participe à de nombreuses réactions métaboliques et contribue particulièrement à la production d'énergie à partir des glucides, des lipides, des protéines et de l'alcool que nous ingérons. Elle participe aussi au processus de formation de l’ADN, permettant une croissance et un développement normaux ;Acide pantothénique le foie de bœuf est une excellente source d’acide pantothénique vitamine B5. Le bœuf haché est pour sa part une bonne source d’acide pantothénique, tandis que le rôti de côtes et le bifteck d’intérieur de ronde en sont des sources. L’acide pantothénique fait partie d’une coenzyme clé dans l’utilisation de l’énergie des aliments que nous consommons. Il participe aussi à plusieurs étapes de la synthèse des hormones stéroïdiennes, des neurotransmetteurs et de l’hémoglobine ;Vitamine B6 le rôti de côtes, le bifteck d’intérieur de ronde et le foie de bœuf sont d’excellentes sources de vitamine B6, tandis que le bœuf haché en est une source. La vitamine B6, aussi appelée pyridoxine, fait partie de coenzymes qui participent au métabolisme des protéines et des acides gras ainsi qu’à la synthèse fabrication des neurotransmetteurs messagers dans l’influx nerveux. Elle contribue également à la fabrication des globules rouges et leur permet de transporter davantage d’oxygène. La pyridoxine est aussi nécessaire à la transformation du glycogène en glucose et elle contribue au bon fonctionnement du système immunitaire. Cette vitamine joue enfin un rôle dans la formation de certaines composantes des cellules nerveuses et dans la modulation de récepteurs hormonaux ;Folate le foie de bœuf est une excellente source de folate vitamine B9. Le folate participe à la fabrication de toutes les cellules du corps, dont les globules rouges. Cette vitamine joue un rôle essentiel dans la production du matériel génétique ADN, ARN, dans le fonctionnement du système nerveux et du système immunitaire, ainsi que dans la cicatrisation des blessures et des plaies. Comme il est nécessaire à la production des nouvelles cellules, une consommation adéquate est primordiale durant les périodes de croissance et pour le développement du foetus ;Vitamine B12 le bœuf est une excellente source de vitamine B12. Cette vitamine travaille de concert avec l’acide folique vitamine B9 pour la fabrication des globules rouges dans le sang. Elle travaille aussi à l’entretien des cellules nerveuses et des cellules fabriquant le tissu osseux ;Vitamine A le foie de bœuf est une excellente source de vitamine A, particulièrement sous forme de rétinol, une des formes actives de la vitamine A dans l’organisme. La vitamine A est l’une des vitamines les plus polyvalentes, jouant un rôle dans plusieurs fonctions de l’organisme. Elle favorise, entre autres, la croissance des os et des dents. Elle maintient la peau en bonne santé et protège contre les infections. De plus, elle joue un rôle antioxydant et favorise une bonne vision, particulièrement dans l’obscurité ;Manganèse le foie de bœuf est une bonne source de manganèse. Le manganèse agit comme cofacteur de plusieurs enzymes qui facilitent une douzaine de différents processus métaboliques. Il participe également à la prévention des dommages causés par les radicaux libres ;Vitamine B1 le foie de bœuf est une bonne source de vitamine B1. Le bœuf haché, le rôti de côtes et le bifteck d’intérieur de ronde en sont des sources. Appelée aussi thiamine, la vitamine B1 fait partie d'un coenzyme nécessaire à la production d'énergie principalement à partir des glucides que nous ingérons. Elle participe aussi à la transmission de l'influx nerveux et favorise une croissance normale ;Vitamine D. Le rôti de côtes est une bonne source de vitamine D. Le bœuf haché, le bifteck d’intérieur de ronde et le foie de bœuf sont, quant à eux, des sources de cette vitamine. La vitamine D joue un rôle primordial dans la santé des os et des dents, en rendant disponible le calcium et le phosphore dans le sang, entre autres pour la croissance de la structure osseuse. Elle participe aussi à la maturation des cellules, dont les cellules du système bienfaits de la viande de bœufConsommés avec modération et dans le cadre d’une alimentation diversifiée et variée, certains morceaux du bœuf contiennent des nutriments bénéfiques à la santé. Pour idée, les recommandations actuelles préconisent de limiter la consommation de viande rouge à deux portions par semaine et d’augmenter, dans le même temps, la consommation de produits de la mer et d’aliments sources de protéines végétales. Une source de lipides essentiels mais à consommer avec modérationLa consommation de viandes rouges, tel le bœuf, entraîne inévitablement un apport plus élevé en lipides dans l’alimentation. Certaines études se sont penchées sur les liens pouvant exister entre la consommation de lipides et de viandes rouges et le risque de cancer. Une étude prospective réalisée par une équipe de chercheurs de renom a démontré que la consommation de lipides de sources animales provenant particulièrement des viandes rouges était associée à une incidence plus élevée de cancers colorectaux. Plus récemment, les auteurs d’un article de synthèse présentant les résultats de plusieurs recherches ont conclu que l’association positive observée entre l’apport en gras total de la diète et le risque de cancer colorectal serait davantage attribuable à la consommation de viande rouge. Ce type d’aliment est associé à une incidence accrue du cancer du côlon et de la prostate. Selon les auteurs, il y aurait donc lieu de recommander une diminution de la consommation de viande rouge, en particulier le bœuf coupes grasses et les viandes froides plutôt qu’une diminution des gras dans la diète surtout ceux d’origine végétale puisque la viande rouge n’apporterait aucun bénéfice supplémentaire en ce qui a trait à la prévention du cancer. Des chercheurs ont aussi observé que l’incidence de cancer colorectal augmentait seulement avec un apport de viandes riches en gras par exemple les saucisses, les viscères et les viandes froides et qu’elle diminuait avec la consommation de viandes rouges maigres. Comme les résultats des études sont contradictoires et que plusieurs autres facteurs pourraient être en cause, l’implication réelle des lipides dans l’incidence des cancers, particulièrement du cancer colorectal, n’est pas encore en acide linoléique conjugué ALCLes ALC sont un groupe d’acides gras polyinsaturés, dérivés de l’acide linoléique. Produits entre autres durant le processus de digestion des ruminants, les ALC sont présents exclusivement dans la viande obtenue de ces animaux bœuf, agneau, mouton, cerf, ainsi que dans le lait et les produits laitiers. Le bœuf contient des quantités relativement élevées d’ALC. Ces acides gras sont connus pour leurs effets bénéfiques potentiels contre le cancer, l’athérosclérose et le diabète, de même que sur le système immunitaire et la composition corporelle. Comme la recherche sur les ALC a davantage été réalisée chez l’animal et que les mécanismes par lesquels ces acides gras exercent leurs effets demeurent obscurs, les chercheurs demeurent prudents quant à l’émission de recommandations claires concernant leur consommation. De plus, la majorité des études ont été effectuées à partir de suppléments d’ALC, ainsi, l’effet des ALC naturellement présents dans le bœuf reste à déterminer. Il est tout de même intéressant de savoir que les différentes coupes de bœuf contiendraient de 0,01 g à 0,06 g d’ALC par 100 g de viande, selon leur teneur en matières grasses. Dans les études réalisées à partir de suppléments, des effets thérapeutiques ont été remarqués à des doses quotidiennes de 3,5 g à 7 g d’ALC voir notre fiche Acide linoléique conjugué.Fer héminiqueLa viande rouge contient des quantités plus élevées de fer hémique que la viande blanche. Il a été démontré que le fer hémique pourrait causer des dommages à la muqueuse du côlon et promouvoir la croissance de cellules cancéreuses dans les études animales. Le fer hémique favorise également la formation de composés N-nitrosés potentiellement bœuf maigre, meilleur pour le coeurDès les années 1940, des chercheurs ont remarqué que les protéines d’origine animale possédaient un effet hypercholestérolémiant, contrairement aux protéines végétales qui ont davantage tendance à diminuer le cholestérol sanguin. Plus récemment, une étude d’observation réalisée auprès de plus de 6 000 participants a permis de constater que plus la consommation de protéines de viande, de poisson et de volaille était élevée, plus les concentrations sanguines de cholestérol et d’apolipoprotéine-B protéine attachée aux particules de cholestérol-LDL, communément appelé mauvais » cholestérol des participants étaient élevées. De plus, une consommation élevée de bœuf était spécifiquement reliée à des concentrations plus élevées de ces deux paramètres sanguins, qui sont des facteurs de risque de la maladie cardiovasculaire, comparativement aux participants qui en consommaient le moins. Une récente étude dont le but était de réviser plus de 50 recherches réalisées sur le sujet a plutôt permis de conclure que la viande rouge maigre, dépourvue de son gras visible, n’augmentait pas le cholestérol total ni le cholestérol-LDL mauvais » cholestérol dans le sang. Ces résultats laissent penser que la consommation modérée de bœuf maigre peut faire partie d’une alimentation États-Unis comme au Canada, les recommandations pour la santé cardiovasculaire suggèrent de diminuer la consommation d’acides gras de type saturé, étant donné leurs effets néfastes sur les concentrations sanguines de cholestérol. Selon la coupe de viande utilisée, 30 % à 40 % des lipides du bœuf proviennent des gras saturés. Par contre, il faut préciser que la consommation d’acide stéarique, un acide gras qui représente environ le tiers du contenu total en acides gras saturés du bœuf sauf pour le foie de bœuf, dans lequel il représente plus des deux tiers, entraîne des effets différents sur le profil lipidique sanguin comparativement aux autres acides gras saturés. En effet, l’acide stéarique diminuerait légèrement le rapport cholestérol total sur cholestérol-HDL bon cholestérol », cet effet étant un facteur protecteur de la maladie cardiovasculaire. Bien que ces résultats démontrent que les acides gras saturés ne sont pas tous nuisibles, leur remplacement par des acides gras insaturés monoinsaturés et polyinsaturés est tout de même souhaitable puisqu’il a été démontré que cela permettait de diminuer le risque de maladies résultats singuliers ont été observés lors d’une étude évaluant l’effet de la consommation de lipides et de protéines animales sur les accidents vasculaires cérébraux AVC. En analysant l’alimentation de plus de 85 000 femmes, les auteurs ont constaté que celles ayant un plus faible apport en protéines animales étaient plus à risque de souffrir d’une hémorragie intraparenchymateuse un type d’AVC, comparativement à celles ayant un apport plus élevé. Les auteurs ont soulevé que cette observation pourrait expliquer l’incidence élevée de ce type d’AVC dans certains pays d’Asie où la consommation de viande est bonne source de vitamines et minéraux malgré toutDes composés protecteurs contre le cancer seraient aussi présents dans la viande rouge, comme le bœuf. Certaines études ont observé une relation inverse entre les concentrations sanguines de zinc et de sélénium et l’incidence de certains cancers. Ces deux minéraux sont présents en grande quantité dans la viande rouge en plus d’être hautement biodisponibles. De plus, le foie de bœuf est une source exceptionnelle de vitamine A et de folate vitamine B9. Le folate a été associé à la diminution du risque de certains mot du nutritionnisteLe bœuf est une viande rouge nutritive pouvant faire partie d’une alimentation saine. Il contient des vitamines particulièrement des vitamines du groupe B et plusieurs minéraux présents en grande quantité sélénium, zinc, fer, cuivre. Les personnes ne consommant pas de bœuf ou d’autres viandes rouges doivent porter une attention particulière à l’intégration quotidienne des substituts de la viande à leur alimentation afin de s’assurer que leurs besoins en ces différents minéraux et vitamines soient terme viande bovine sert à désigner la chair comestible de la vache, du taureau, du veau, de la génisse et du bœuf. La viande de bœuf est une des viandes les plus consommées à travers le monde juste après la volaille, dans les pays développés particulièrement. Toutefois, tous les morceaux ne se valent pas et il convient de savoir faire les bons choix afin de conserver un état de santé optimal. Carte d'identitéFamille bovinésSaison décembre à marsCouleur brun rougeSaveur douce Une cuisson à maîtriserPour profiter de façon optimale des propriétés santé du bœuf, il importe de le cuire de façon adéquate afin d’éviter la formation de composés potentiellement cancérogènes. Il faut éviter de carboniser ou de trop cuire la viande et utiliser moins souvent la friture et la cuisson sur le grill ou au de cuisson à mesurer avec un thermomètre à viandeRôti 57 à 60 ºC 135-140 ºF. Laisser reposer 15 minutes après la cuisson. La température interne augmentera encore de 3 à 5 degrés ;Steak 63 ºC 145 ºF. Enfoncer le thermomètre à l'horizontale dans la viande ;Bœuf haché 72 ºC 160 ºF.Faut-il laisser reposer la viande avant cuisson ?Il n'est plus recommandé aujourd'hui de laisser reposer la viande sur le comptoir le temps qu'elle atteigne la température de la pièce; il est préférable de la faire passer directement du réfrigérateur à la casserole ou au astuces pour bien cuisiner le bœuf et éviter les intoxicationsSi possible, hacher soi-même sa viande juste avant de l'apprêter, à l'aide d'un large couteau ou d'un hache-viande; les risques de prolifération bactérienne s'en trouveront grandement plus grande vigilance s'impose quant à l'entretien des ustensiles, récipients, assiettes, planches à découper qui se trouvent en contact avec de la viande crue. Les laver à l'eau chaude et savonneuse tout de suite après l’utilisation. Frotter régulièrement la surface de travail avec du vinaigre ou un demi-citron privé de son l’on veut faire cuire des morceaux de bœuf à la mijoteuse crock pot ou slow cooker, dont les températures de cuisson restent très basses, les faire d'abord revenir à haute température afin de détruire les bactéries qui pourraient être présentes à la morceaux les moins tendres gagneront à mariner un à cinq jours au réfrigérateur dans une préparation comprenant nécessairement une substance acide jus d'agrumes, vin, cidre, vinaigre ou yogourt. Ajouter les aromates de son choix, une bonne huile d'olive, de la sauce soja ou Worcestershire, du miel, pièces à rôtir peuvent être saumurées 24 heures dans de l'eau additionnée de sucre et de sel. Laisser ensuite reposer la viande une journée au réfrigérateur. Elle sera nettement plus tendre après ce traitement. Laisser reposer une pièce rôtie 15 ou 20 minutes à la sortie du four, permet une bonne répartition des jus dans la chair. La recouvrir d'une feuille de papier d’aluminium pour la garder chaude. Enfin, autant que possible, acheter rôtis et morceaux à braiser avec les os. Ils donnent à la chair plus de saveur et l'empêchent de trop se rétracter à la des abatsLangue pour la débarrasser de ses impuretés, la mettre à rincer sous un filet d'eau froide pendant une heure, ou la laisser simplement tremper en changeant l'eau à quelques reprises ;Foie retirer la membrane transparente qui le recouvre, puis le mettre à tremper dans du lait afin de lui enlever un peu de son amertume ;Tripes fraîches, elles exigent une longue cuisson une douzaine d'heures, et même plus. Il est préférable de les acheter partiellement cuites pour les apprêter ensuite en suivant la recette de son bœuf sert d’ingrédients de base à de nombreuses recettes traditionnelles et classiques. D’ailleurs, chaque continent possède sa spécialité en matière de viande de bœuf. Une fois le morceau choisi, il convient de respecter quelques bons conseils de cuisson et il ne reste plus qu’à se régaler. Les grands classiques à base bœufL'incontournable hamburger peut se préparer avec de l'ail et des oignons émincés, du thym, du persil, ou d'autres herbes au choix. Pour une expérience gustative inusitée, ajouter des olives noires hachées. Si le mélange n'est pas assez homogène, ajouter un œuf cru et de la chapelure. Bien mélanger les ingrédients et faire revenir à la poêle ou griller au four. Napper d'un coulis de poivron rôti ;Le bifteck tartare, qui aurait été inventé au XIVe siècle par les Tartares, se prépare avec le filet, qu'il faut d'abord couper en tranches, puis en cubes et enfin émincer. Incorporer un jaune d'œuf, une échalote hachée très finement, du sel, du poivre, un peu d'huile de tournesol, du persil haché et, si l’on veut ajouter un peu d'acidité, quelques gouttes de vin blanc ;La réussite du carpaccio, ce plat de viande crue, créé en hommage à un peintre de la Renaissance vénitienne, tient à la finesse de ses tranches. Pour le réussir, mettre le morceau de filet au congélateur une dizaine de minutes, il sera nettement plus facile à trancher. Assaisonner de sel et de poivre le fond d'une assiette. Y déposer les tranches de viande et assaisonner de nouveau de sel et de poivre. Napper d'une vinaigrette à base de jus de citron et d'huile d'olive. Décorer d'une julienne de zeste de citron blanchi et servir avec une salade de roquette et des croûtons de pain ;La daube se prépare avec de la viande prise dans l'épaule et coupée en cubes, que l'on fait cuire dans une cocotte épaisse avec du vin rouge, de l'ail en chemise, une feuille de laurier, quelques clous de girofle, des écorces d'agrumes séchées. Ajouter un morceau de lard non salé. La cuisson dure 3 ou 4 heures au four ou 8 à 10 heures dans une mijoteuse réglée à basse anti-gaspillage Servir les restes de bœuf en salade tiède avec la chair d'une aubergine frite, des échalotes, du jus de limette et une pincée de sucre. Ajouter du piment fort si sa viande séchée maisonPour les excursions ou les expéditions, la charqui viande séchée n'a pas son pareil. On peut s'en procurer dans le commerce, mais elle est généralement traitée aux nitrites et souvent faite de viande hachée reconstituée. La véritable charqui n'est jamais hachée. On peut la faire soi-même en coupant d'abord la viande en fines tranches dans le sens contraire des fibres. Jeter les tranches dans de l'eau ou une marinade qui mijote et les retirer dès que le liquide a retrouvé son point d'ébullition. Mettre ensuite les tranches à sécher dans un déshydrateur ou au four réglé de 60 à 72ºC 160ºF pendant 7 à 12 heures, jusqu'à ce que la viande soit sèche, mais non les abats pour épater vos convivesLe cœur est servi en tranches de 1 à 1,5 cm d'épaisseur que l'on fait cuire jusqu'à ce qu'elles soient d'un beau rose saignant. On peut aussi le garder entier et le farcir avant de le mettre au four à feu lent. Ou le cuire dans du lait et un fond blanc, ou dans un mélange de fond brun et de vin rouge ;Pocher la langue préparée voir la section Abats ci-dessus dans un court-bouillon composé d'eau, d'oignons, de poireaux, de carottes, d'ail, de céleri, d'un bouquet garni, de baies de genièvre, de sel et de poivre que l'on aura préalablement fait cuire 45 minutes. Mijoter jusqu'à ce que la langue soit bien cuite. Enlever la peau blanche qui la recouvre, puis la couper en belles tranches que l'on servira nappées d'une sauce gribiche ;Faire mijoter longuement la queue dans un bouillon de légumes et la servir en soupe. Ou la préparer en la mettant dans de l'eau froide amener à ébullition, écumer; ajouter des pieds de veau, des oignons, du poivre, une ou deux branches de céleri, une ou deux carottes, une tête d'ail et un bouquet garni; cuire à frémissement jusqu'à ce que la chair se détache bien des os; effilocher la viande et servir avec le bouillon réduit et une purée de pommes de grâce au bœufEn Asie, on apprête le bœuf dans des currys que l'on sert sur du riz ou des nouilles de riz. Les Thaïlandais le font mijoter doucement dans du lait et de la crème de noix de coco. Les Chinois le font sauter au wok avec quantité de légumes des suggestions de recettes Bœuf bourguignon ;Langue de bœuf ;Bœuf aux carottes ;Côte de et allergiesDans les pays développés, la consommation de viande rouge a tendance à être excessive. Pourtant, cette surconsommation n’est pas sans conséquences et il est important d’en connaître les risques sur le long terme. Un risque accru de cancer L’effet de la consommation de viande rouge sur l’incidence de divers cancers est controversé. Plusieurs études effectuées dans différents pays ont rapporté une association entre la consommation élevée de viande rouge et l’incidence plus élevée de cancer colorectal autant chez l’homme que chez la femme. Tandis que certaines études n’ont pu démontrer d’association entre la consommation de viande rouge et le risque de cancer du côlon, des chercheurs ont observé une diminution des cancers colorectaux chez les consommateurs de bœuf maigre. De plus, cette relation serait particulièrement observée dans le cas d’une consommation quotidienne supérieure à 140 g de viande rouge. Une diminution de la consommation de viande chez des gens ayant déjà un adénome colorectal ne semble pas diminuer le risque de récurrence de la consommation de viande rouge et de gras animal a aussi été associée à une augmentation des cancers du sein dans certaines études, tandis qu’aucune association n’a été observée dans d’autres. De plus, la consommation de viande rouge ou de bœuf a été reliée à un risque plus élevé d’autres cancers, tels le cancer du pancréas, du poumon, de la vésicule biliaire, de l’estomac et de l’oesophage et de certains types de cancers de la prostate. Il est à noter que toutes ces études n’ont pas utilisé les mêmes méthodes de cueillette de données, ce qui a pu entraîner des biais quant à l’évaluation de la consommation réelle de viandes donné l’effet controversé de la consommation de viande rouge sur les risques de cancer, certains auteurs ont voulu nuancer la polémique. Des chercheurs ont souligné le fait que dans certains pays, même si la consommation de viande rouge tend à diminuer avec les années, l’incidence de cancer colorectal tend à augmenter. Une des raisons proposées pour expliquer cette observation est la faible consommation d’aliments protecteurs » contre le cancer tels les fruits et légumes souvent associée à une alimentation riche en viandes rouges. La viande rouge ne serait donc pas directement en cause, mais plutôt le déficit en composés protecteurs présents dans les végétaux. D’autres études se sont penchées plus spécifiquement sur de tels composés protecteurs ou non potentiellement impliqués dans ces effets à la sur-cuissonCertains composés potentiellement cancérogènes sont formés lorsque la viande est cuite à des températures élevées, par exemple les amines hétérocycliques AHC et les hydrocarbones aromatiques polycycliques HAP. La formation de ces composés dépend de la méthode, de la température et du degré de cuisson. La cuisson sur le grill et au barbecue ainsi que la friture produisent de grandes quantités de ces composés cancérogènes, tandis que la cuisson au four, les rôtis ou les mijotés n’en forment que des quantités négligeables. Plusieurs études ont observé un lien entre la cuisson excessive des viandes et différents types de cancer. Par exemple, le brunissement ou la carbonisation de la partie externe de la viande devrait être évités, tout en s’assurant de cuire suffisamment la viande afin de tuer les sa consommation pour éviter l’inflammationUne nouvelle étude a démontré qu'une molécule de sucre nommée la Neu5Gc acide N-glycolylneuraminic qui se retrouve dans la chair du bœuf, de l’agneau et du porc mais aussi des produits laitiers déclencherait une réponse immunitaire qui peut conduire à une inflammation chronique des tissus et ainsi contribuer à la croissance de tumeur cancéreuse. L'exposition à long terme à ce sucre chez la souris a augmenté de cinq fois le risque de développer un cancer. La consommation de viande et d’abats a souvent été associée à une augmentation de l’inflammation chez les gens atteints de maladies inflammatoires. Récemment, des chercheurs ont observé que les gens qui consommaient plus de 58 g de viande par jour présentaient un risque presque deux fois plus élevé de souffrir de polyarthrite rhumatoïde. La présence de plusieurs composés dans la viande pourrait partiellement expliquer ces associations dont les types de lipides, les protéines, le fer et les nitrites de la viande, mais davantage d’études seront nécessaires afin d’identifier précisément les composés alimentaires impliqués. Les données disponibles actuellement ne permettent pas de conclure hors de tout doute que la consommation de viande augmente l’incidence de maladies inflammatoires. Il est tout de même recommandé aux gens à risque ou souffrant d’arthrite de limiter ou diminuer leur consommation de viandes, afin de bénéficier des effets positifs qui y sont risque accru de diabète de type 2 ?Une étude d’observation a permis de constater que les femmes qui consommaient du bœuf ou du jambon plus de deux fois par semaine avaient un risque plus élevé d’être atteintes de diabète de type 2, comparativement aux femmes qui en consommaient moins d’une fois par semaine. Le cholestérol, les protéines et le fer contenus dans le bœuf sont des facteurs alimentaires qui pourraient expliquer en partie cette association avec l’incidence du diabète de type 2. De plus, deux grandes études ont observé qu’une alimentation de type western » caractérisée entre autres par une consommation élevée de viandes rouges et transformées, de produits laitiers riches en matières grasses, de sucres raffinés et de desserts était associée davantage à une augmentation du risque de diabète de type 2 chez l’homme et la femme, comparativement à une alimentation dite prudente » caractérisée par une consommation élevée de fruits, de légumes, de poisson, de volaille et de grains entiers. Chez la femme, ces études ont permis de démontrer qu’une consommation élevée de viande rouge était reliée à l’augmentation du de toxi-infections alimentairesLe bœuf haché peut être responsable de toxi-infections alimentaires. Escherichia coli E. coli est une bactérie qui se trouve à l’état naturel dans les intestins du bétail et il arrive qu’elle contamine la surface de la viande au moment de l’abattage. Lorsque la viande est hachée, le processus peut répartir la bactérie dans toute la viande. Par contre, des mesures de salubrité peuvent prévenir une toxi-infection alimentaire. En plus du lavage des mains et des surfaces de travail, il est important d’éviter toute contamination croisée de la viande crue avec d’autres aliments ou surfaces et de s’assurer de la cuisson suffisante du bœuf. Les températures internes de cuisson sont disponibles sur le site Internet de l’Agence canadienne d’inspection des aliments ACIA. Une toxi-infection alimentaire se manifeste par des crampes d’estomac, des nausées, des vomissements, de la diarrhée et de la et anecdotesUn peu d’histoireLe terme bœuf », qui est apparu dans la langue en 1155, est dérivé du latin bos. Bien qu'elle ne vienne pas d'Europe, on donne souvent à l'espèce Bos taurus le nom de bœuf européen », la diversité des cultures et l'éloignement géographique des régions sur ce continent ayant conduit à la sélection de nombreuses races aux caractéristiques bien définies et qui forment l'essentiel des élevages modernes dans le bœuf européen et le zébu sont les deux principales espèces de bovidés domestiqués. Ils ont pour ancêtre commun le monumental aurochs que l'être humain chassait depuis des temps immémoriaux. L’aurochs aurait été domestiqué il y a 7 000 ou 8 000 ans dans le sud-ouest de l'Asie et, peut-être à la même époque, dans le nord de l’ bœuf a d'abord été considéré comme un animal sacré destiné aux sacrifices rituels, au cours desquels on rejouait symboliquement la mort de la déesse Lune, qu’il représentait avec ses cornes en forme de lyre. Puis, avec l’apparition de l'agriculture, il est devenu un symbole de fertilité. En Mésopotamie, en Égypte et dans la vallée de l'Indus, il prend une importance phénoménale. On le vénère et le représente dans des statues tandis que, dans la Grèce et la Rome antiques, on l’offre en sacrifices découvre rapidement l'utilité du bœuf comme animal de trait, que ce soit pour tirer les chariots sacrés ou, plus tard, la charrue de bois, dont il a suivi l'expansion vers l'ouest. Dès le IVe millénaire avant notre ère, le mâle castré est harnaché et mis à l' saviez-vous ? Le goût pour la chair de bœuf est récent, historiquement parlant. En Grèce et à Rome, seule la classe riche en mange, situation qui prévaudra jusqu'à la fin du Moyen Âge, époque où les Européens se découvriront un appétit immodéré pour cette viande rouge. Selon certains, c'est le désir de trouver des épices et des assaisonnements pour l'apprêter et la conserver qui les lancera sur les mers à la conquête du le Moyen Âge, à la campagne, le bœuf est d'abord un animal de trait et une source de lait. On ne l'abat que lorsqu'il est épuisé par les travaux, les nombreuses lactations ou l'âge. Il faudra donc faire preuve de beaucoup d'imagination pour apprêter la chair coriace de ces bêtes, que l'on qualifiait, et qualifie toujours en France, de vieilles marraines ». C'est ainsi que naîtront la daube et le pot-au-feu de même que, en Angleterre, les ragoûts et plats de viande braisée ou bouillie qui restent, malgré tout, l'apanage des riches, les pauvres devant généralement se contenter des abats tripes, rognons, mou poumon, langue, queue, tout passe à la premiers bœufs font leur entrée en Amérique lors du deuxième voyage de Christophe Colomb en 1494, tandis qu'il fonde, sur l'île d'Hispaniola aujourd'hui Haïti et République dominicaine, le premier établissement européen du continent. Les animaux se multiplieront et vivront plus ou moins à l'état sauvage, si bien qu'on les chassera plutôt qu'on ne les élèvera. Il faudra peu de temps avant que le bœuf ne se retrouve sur tout le continent américain, depuis le nord jusqu'au bœuf aujourd’huiEncore aujourd’hui, dans plusieurs régions du monde, le bœuf continue d’être un instrument de travail en plus de fournir un cuir solide pour la fabrication de tambours, de boucliers, de vêtements et de literie, et des os pour façonner des grattoirs et des ustensiles de cuisine. Son fumier est souvent employé comme combustible et comme ciment, et son urine sert au lavage et au tannage des que quelques races seulement dominent le marché, des centaines ont été sélectionnées au fil des siècles. Aujourd'hui, les sélectionneurs recherchent de nouveau ces anciennes races au bagage génétique plus étendu afin d'améliorer les troupeaux modernes, souvent très sensibles aux maladies et aux parasites ou dont les femelles présentent des difficultés au moment du et environnementContrairement à celui de la volaille, le système digestif des ruminants est mal adapté au grain que, dans la nature, ils ne consomment qu'en petites quantités. Et pourtant, dans les élevages modernes, les bovins mangent de moins en moins d'herbe et de plus en plus de grains et de concentrés. Des chercheurs ont démontré que la chair du bœuf élevé sur pâturage contenait moins de gras saturés et était moins calorifique 100 calories de moins dans un steak de 170 grammes que celle du bœuf élevé au grain. De plus, elle contient plus de vitamine E, d'acides gras oméga-3 deux à six fois plus et d'acide linolénique outre, les intestins des ruminants qui consomment peu d'herbe hébergent 300 fois plus de bactéries que ceux des animaux élevés sur pâturage. À la longue, ces bactéries deviennent résistantes à l'acidité gastrique de l'animal et, lorsqu'elles sont accidentellement transmises à l'être humain, elles survivent aux fortes doses d'acidité présentes dans son estomac et lui sont, par conséquent, beaucoup plus article vous-a-t-il été utile ?À lire aussiDansnotre cas, notre chienne de 12 ans, atteinte d’une tumeur sur un lobe du foie, a une diarrhée chronique, des selles jaunâtres avec glaires que nous n’arrivons pas à stopper malgré le riz complet cuit et rincé accompagné de viande (poulet, steak haché,etc) ou poisson. nous lui donnons aussi 2 sachets de smecta par jour après ses repas. L'alimentation de l'enfant est un facteur important pour une croissance harmonieuse. Elle doit être variée et équilibrée. Certaines catégories d'aliments doivent être consommées tous les jours. Au moins cinq portions de fruits et légumes par jour En plus d'être pauvres en calories, les fruits et légumes sont un vrai cocktail de vitamines, minéraux et fibres. Il est conseillé d'en consommer cinq portions par jour, en privilégiant les légumes par exemple, une portion de fruits et quatre de légumes, deux portions de fruits et trois de légumes... La consommation régulière de fruits et légumes chez l'enfant aide à prévenir les maladies cardiovasculaires à l'âge adulte. Une portion est de 80 à 100 grammes, soit l'équivalent d'une poignée. C’est par exemple une tomate de taille moyenne, une poignée de tomates cerise, une poignée de haricots verts, un bol de soupe, une pomme, deux gros abricots, une banane, une poignée de cerises… Selon ses préférences, votre enfant peut déguster les fruits et légumes crus ou cuits, en salade, en gratin ou en soupe, à chaque repas. Il peut aussi les privilégier en cas de petits creux, s'il n'est pas possible d'attendre le repas suivant. Pensez aux légumes verts épinards, brocolis, haricots verts... très riches en vitamine B9 ou folates et en vitamine C. Pour préservez au mieux leurs vitamines, cuisez-les à la vapeur ou dans peu d'eau. Toutes les formes de légumes et fruits sont utilisables frais, surgelés ou en conserve. Pour les aliments frais, essayez de privilégier les légumes et fruits peu exposés aux pesticides. Jus de fruits, fruits secs et yaourts aux fruits Un jus de fruit frais pressé ou un verre de jus "sans sucre ajouté" compte pour une portion. Cependant, le jus de fruit ne comporte pratiquement pas de fibres alimentaires et a un pouvoir rassasiant moins important qu'un fruit entier. Il est recommandé de ne pas consommer plus d'un verre de jus de fruit par jour 1/2 verre avant 11 ans. En revanche, un smoothie, élaboré en mixant des fruits, sans sucre ajouté, est riche en fibres. Un verre de jus de fruit ou smoothie est l'équivalent d'une portion de fruits. Ne confondez pas le jus de fruit "sans sucre ajouté" et les boissons sucrées à base de fruits ainsi que les nectars qui contiennent beaucoup plus de sucres. Les fruits secs abricot, figues, raisins, dates... riches en vitamines sont également riches en sucres. Ils sont à consommer de façon occasionnelle, lors d'un repas en non en dehors. La consommation de quelques fruits à coque sans sel ajouté amandes, noix, noisettes, pistaches est possible en dehors de toute allergie. Chez les plus jeunes enfants 3 à 4 ans, la consommation de ces produits entiers n’est pas recommandée du fait du risque de fausse route et d’inhalation. Un yaourt aux fruits ne remplace pas une portion de fruits car la quantité de fruits contenue est très faible. Les céréales et les légumineuses indispensables dans l'alimentation de l'enfant En plus des légumes, cuisinez pour votre enfant des produits céréaliers ou des légumineuses, à chaque repas, selon son appétit et son activité physique. Ces produits sont importants pour le fonctionnement des muscles et du cerveau. À la différence des aliments sucrés, ils apportent une énergie qui se libère progressivement dans le corps. En consommer permet à votre enfant de limiter les "petits creux" entre les repas. Contrairement aux idées reçues, les céréales et légumineuses ne font pas grossir lorsqu'elles sont consommées en quantité raisonnable. C'est souvent leur accompagnement ou leur mode de préparation qui entraîne une prise de poids sauce grasse, friture... Soyez vigilant certaines céréales du petit déjeuner destinées aux enfants sont très sucrées ou grasses. Recherchez la présence des sucres et des graisses en lisant la composition du produit sur l'emballage. Quelles sont les céréales et les légumineuses ? Les produits céréaliers comportent le pain, le riz, les pâtes, le maïs, les céréales du petit déjeuner non sucrées, la semoule, le boulgour, l'orge, l'avoine, le seigle...auxquels on associe le sarrasin, le quinoa... Les légumes secs ou légumineuses sont les lentilles, pois chiches, haricots blancs et rouges, fèves, flageolets... Quelques conseils pour la consommation des céréales et légumineuses N'hésitez pas à proposer régulièrement des légumineuses à vos enfants au moins deux fois par semaine lentilles, fèves ou pois chiches. Elles peuvent remplacer la viande viande rouge ou volaille. Pensez aux céréales riz, pâtes, pain... complètes ou peu raffinées à consommer tous les jours. Seules les céréales du petit déjeuner, complètes et non sucrées peuvent appartenir à ce groupe. Ces aliments riches en fibres préviennent les troubles métaboliques et en particulier le stockage par l'organisme des graisses dans le foie et diminue le risque de cancer colorectal à l'âge adulte. Privilégiez les produits les moins exposés aux pesticides. Intolérance au gluten ou maladie cœliaque L'intolérance au gluten est une maladie intestinale chronique. Cette se traduit par des symptômes digestifs douleurs abdominales, diarrhée, une cassure de la courbe de poids... Le traitement repose sur l'exclusion du gluten de l'alimentation. Trois ou quatre produits laitiers par jour pour la croissance de l'enfant Les produits laitiers sont indispensables pour la croissance, la constitution des muscles et la solidité des os car ils apportent des protéines, du calcium et de la vitamine D. Cette vitamine permet au corps d’utiliser le calcium de l’alimentation. Elle est essentiellement fabriquée par la peau sous l’action des rayons du soleil. Des moments réguliers de jeux en plein air suffisent pour sa fabrication. Qu'est-ce qu'un produit laitier ? On entend par produit laitier le lait, les yaourts et fromage blanc, les petits suisses natures et le fromage. Un enfant de plus de 3 ans et un adolescent doivent consommer 3 à 4 fois par jour environ 200 mg de calcium. 200 mg de calcium sont apportés par un verre moyen de lait ou un petit bol, un yaourt nature, 20 g de fromage type emmental, 3 petits suisses, 50 g de camembert soit 1/5... Le lait apporte autant de calcium, qu'il soit entier ou écrémé. Seule la quantité de matières grasses change. Le lait demi-écrémé convient tout à fait aux enfants, à partir de trois ans. Variez les produits laitiers donnez plus souvent du lait, du fromage blanc, des petits suisses et des yaourts moins riches en matières grasses que le fromage, mais ne négligez pas ce dernier très riche en calcium. D’autres groupes alimentaires peuvent être également des sources intéressantes de calcium légumineuses, légumes, fruits à coque, eaux riches en calcium, boissons végétales enrichies en calcium. Les produits laitiers Les produits laitiers Une quantité de calcium d’environ 200 milligrammes est apportée par un verre moyen, ou un petit bol, de lait de vache de 150 millilitres ; un yahourt nature de 125 grammes ; 20 grammes de fromage de type emmental ou comté ; Trois petits suisses de 60 grammes ; 50 grammes de camembert, représentant un cinquième du fromage. Un point sur ce qui n'est pas un produit laitier S’ils semblent similaires aux produits laitiers, certains aliments ne font pourtant pas partie de cette catégorie Même s'ils sont issus du lait, le beurre et la crème sont pauvres en calcium et riches en matières grasses. Attention ils ne font pas partie des produits laitiers mais des matières grasses. Les desserts lactés, les crèmes desserts, les flans, les entremets, les spécialités laitières, les crèmes glacées, les biscuits même enrichis en calcium ne font pas partie des produits laitiers, mais des produits sucrés. Les barres "lait et chocolat" ne peuvent, en aucun cas, compter pour un produit laitier. Les préparations au soja contiennent peu ou pas de calcium et ne remplacent pas les produits laitiers. Allergie et intolérance au lait quelles différences ? L'allergie aux protéines de lait de vache est une perturbation du , survenant le plus souvent chez le nourrisson et l'enfant. Elle provoque des symptômes digestifs douleurs abdominales, vomissements, diarrhée, mais aussi respiratoires nasale, toux, éternuements, et dermatologiques urticaire, eczéma atopique. Elle disparaît le plus souvent vers l'âge de 3 à 5 ans. Il n'existe pas d'allergie au lactose, sucre du lait. L’intolérance au lactose, due à un déficit en lactase, survient le plus souvent à l'âge adulte et n’entraîne pas de risque de complications, contrairement à l’allergie aux protéines de lait. De la viande, du poisson ou des œufs en alternance La viande, le poisson et les œufs constituent des sources importantes de protéines et de fer, nécessaires pour la construction osseuse et la constitution de la masse musculaire. Il n’est pas nécessaire d’en consommer à chaque repas. Il est possible pour certains repas de consommer des produits qui sont des sources alternatives de protéines légumineuses, légumes secs, céréales peu ou pas raffinées. Adaptez les portions à l'âge de votre enfant. Entre 3 et 11 ans, une portion de 50 g de viande ou poisson ou un œuf suffisent. Puis augmentez progressivement les quantités jusqu'à la fin de l'adolescence. Limitez la consommation des viandes rouges bœuf, porc, agneau, mouton, chèvre, cheval, sanglier, biche. Ne dépassez pas 500 g par semaine chez l'adolescent. Choissez plutôt la viande de volaille. Quelle que soit la viande, favorisez les morceaux les moins gras poulet sans peau, filets maigres de veau, porc, bœuf, steak haché à 5 % de matières grasses... Et même si les enfants en raffolent, limitez les "nuggets" et autres formes panées de viande ou de poisson, très riches en graisses. Ces produits peuvent être ultra-transformés il est recommandé de consulter la liste des ingrédients et des additifs pour choisir ceux en contenant le moins. Limitez la consommation de burgers souvent très riches en viande. Les charcuteries, très riches en graisses saturées, ne peuvent pas remplacer la viande et leur consommation doit être limitée. Au sein des charcuteries, privilégiez le jambon blanc. Veillez à ce que votre enfant mange du poisson, deux fois par semaine, en alternant poisson maigre et poisson gras, ce dernier ayant un effet protecteur sur la santé saumon, hareng, maquereau, sardine. Variez les espèces et lieux de provenance des poissons pour limiter l'exposition aux éventuels contaminants. Équivalences en protéines 50 g de viande = 50 g de poisson = 1 œuf. L’eau à volonté la seule boisson recommandée pour l'enfant L'eau est la seule boisson recommandée à volonté au cours et en dehors des repas, avant et pendant une activité physique. Les sodas, riches en sucre, doivent être évités. La consommation de boissons sucrées doit rester exceptionnelle, et pour les adolescents, être limitée à un verre par jour 1/2 verre avant 11 ans. Dans cette catégorie de produits, les jus de fruits sans sucre ajouté sont privilégiés. Les boissons contenant de la caféine café, thé, boissons énergisantes sont à proscrire chez l’enfant et l’adolescent. Quantité de sucre contenue dans une canette de soda Programme national nutrition santé. Manger mieux à tout âge. Site internet Paris. [consulté le 17 novembre 2021] Institut national de recherche agronomique. Alimentation des enfants quand les chercheurs se mettent à table. Dossier de presse. Site internet INRA. Paris ; 2018 [consulté le 17 novembre 2021] Haut Conseil de la santé publique. Avis relatif à la révision des repères alimentaires pour les enfants âgés de 0-36 mois et de 3-17 ans. HCSP. Paris ; 2020 [consulté le 17 novembre 2021] Manger Bouger
Beurrerun moule à gratin et y disposer en alternance des couches de pommes de terre et de viande hachée. Battre les oeufs, la crème fraîche et le fromage dans un récipient et assaisonner de sel, de poivre et de noix de muscade. Napper avec la couche de pommes de terre. Faire cuire dans un four préchauffé à 200°C environ 20 minutes.
40 min Facile Les briouates ou briwat kefta sont des brick de viande hachée réalisées particulièrement lors du mois du ramadan et aux saveurs orientales particulièrement délicates. Cette recette marocaine légère et facile à réaliser se sert généralement avec des petites tranches de citron jaune et de la salade. Pour varier les plaisirs de ces briouates, utilisez de la merguez au lieu de la viande hachée et utilisez d’autres épices selon votre goût ! Vous pouvez également y ajouter des épinards pour des saveurs plus fraîches ! 400 grammes de viande hachée Feuilles de bricks 5 portions de fromage frais à tartiner 1 oeuf 1 oignon 4 branches de persil 4 branches de coriandre 1 noix de beurre 1 cuillère à soupe d’huile d’olive 1/2 cuillère à café de cannelle 1/2 cuillère à café de paprika 1/2 cuillère à café de noix de muscade Sel Poivre Huile pour friture 1 Pelez et hachez finement l’oignon. Faites-le revenir dans une poêle avec la noix de beurre. Quand l’oignon est translucide et le beurre bien fondu, ajoutez la viande hachée et toutes les épices, ainsi qu’une pincée de sel et de poivre. Faites revenir environ 8 minutes. Gestes techniques Tailler un oignon 2 Ajoutez l’oeuf et mélangez votre préparation. Retirez du feu et ajoutez le fromage frais. Réservez pour laisser refroidir. 3 En attendant, ciselez le persil et la coriandre. Ajoutez les herbes finement ciselées au reste de la préparation. Gestes techniques Comment ciseler ses herbes ? Comment ciseler ses herbes ? 4 Sur votre plan de travail, déposez une feuille de brick . Ajoutez une belle cuillère de farce au milieu de la feuille de brick, sur la partie basse le plus proche de vous. 5 Pliez la feuille de brick pour obtenir des triangles de briouate kefta. 6 Recommencez l’opération jusqu’à épuisement des ingrédients. 7 Dans une casserole à bord hauts, ou une friteuse, faites chauffer un grand volume d’huile. Faites dorer chaque cigare quelques minutes puis déposez-les sur du papier absorbant. Astuces Vous pouvez également réaliser la cuisson au four à 200°C pendant 10 minutes pour une version plus light! Servez les ensuite avec des quartiers de citron. Recettes similaires Haut de pageCen'était pas "Top Chef" ou autre émission télé de cuisine, mais une expérience scientifique, et ce hamburger aurait pu entrer dans le Guiness des records avec son steak à 250.000 euros. Des triangles croustillants et goûteux pour une entrée, un apéro dinatoire ou pour "lftour" pendant le mois du ramadan... Les ingrédients Un paquet de feuilles de brick 400g de viande hachée 2 œufs durs 1 œuf cru 2 cuil. à soupe de persil haché 1 cuil. à café de paprika 1 cuil. à café de purée d’ail 2 oignons du fromage râpé facultatif Sel, poivre Faire revenir les oignons coupés en petits dés dans un filet d’huile d’olive, ajouter l’ail. Ajouter la viande hachée, le persil, paprika, sel et poivre et laisser cuire en mélangeant Retirer du feu et laisser refroidir Couper les œufs durs en petits morceaux puis les mélanger avec la viande hachée Ajouter enfin l’œuf cru et mélanger pour lier l’ensemble puis le fromage râpé. Couper les feuilles de brick en deux Placer une cuil à soupe de farce sur une demi feuille de brick pliée en deux – voir photo et plier. Souder avec du jaune d’œuf Faire frire dans une huile chaude à feu moyen Laisser égoutter sur du papier absorbant avant de servir. Bon ap ; . 13 386 308 44 139 301 424 421