Ilaide les élèves qui ont des difficultés d’adaptation dues à un problème de santé mentale, un trouble du comportement ou un trouble du développement. Le psychoéducateur. Il travaille
Télécharger l'article Télécharger l'article Il a été prouvé que les thérapies aident les personnes de tous âges à surmonter des problèmes allant de la dépression à l’anxiété en passant par les phobies et les problèmes d’abus de drogues [1] . Pourtant, nombreux sont ceux qui hésitent ou refusent de suivre une thérapie, et ce, pour de nombreuses raisons. Si quelqu’un que vous connaissez a besoin d’une thérapie, vous pouvez suivre quelques conseils pour aborder le sujet sans le mettre dans l’embarras ou avoir honte. Savoir comment s’y prendre sans le brusquer est crucial pour réussir à amener une personne à laquelle vous tenez à accepter l’aide dont elle a besoin. 1Dites à votre ami ou à votre partenaire que ce qu’il ressent est normal. Que la personne que vous encouragez à voir un psychologue souffre d’une dépendance, d’un trouble mental ou traverse simplement une mauvaise passe, le fait de lui dire que ce qu’elle ressent est normal est la première étape pour dissocier la thérapie des préjugés [2] . Rappelez à votre être cher ou à votre ami que les personnes de son genre, ethnie, âge ou de sa nationalité rencontrent les mêmes problèmes et suivent une thérapie sans en ressentir de la honte. 2 Rappelez à votre proche que ses problèmes ont des causes médicales. La dépression, l’anxiété et les phobies sont toutes des pathologies [3] . À la base, la dépendance est aussi un problème de santé [4] . Essayez de comparer la thérapie à une visite chez le docteur pour une tout autre raison médicale. Demandez à votre ami Tu n’hésiterais pas à aller voir un docteur pour un problème cardiaque ou pulmonaire, n’est-ce pas ? Alors en quoi cette situation-ci est-elle différente ? » 3 Insistez sur le fait que tout le monde a parfois besoin d’aide. Des études ont prouvé que 18 % de la population française a déjà recherché et obtenu un certain type de traitement pour des problèmes de santé mentale. Cela représente plus d’une personne sur cinq, soit environ 12 millions d’individus [5] . Essayez de lui dire par exemple Je suis là pour toi, quoiqu’il arrive. Je n’aurai pas une mauvaise opinion de toi juste parce que tu as besoin d’une thérapie. » 4Montrez à votre proche que vous lui apportez tout votre soutien. Le fait que vous disiez que vous ne le verriez pas différemment s’il allait suivre la thérapie l’aidera à se convaincre qu’il n’y a aucun vrai préjugé lié aux thérapies. 1 Encouragez votre amie à vous livrer le fond de sa pensée. Demandez à votre proche de vous dire exactement ce qui l’effraye à propos de la thérapie. Amenez-le à s’ouvrir à vous par rapport à ses peurs et à ses inquiétudes, car cela peut être une première étape intéressante dans le processus qui l’amènera à aller voir un psychologue. Essayez de lancer la conversation en admettant quelques-unes de vos propres peurs et inquiétudes. Cela pourrait faire en sorte que votre discussion ressemble plus à un dialogue à propos de la peur et de la thérapie qu’à un ordre lui intimant de chercher à obtenir de l’aide. Si vous avez d’autres amis qui ont suivi avec succès une thérapie, n’oubliez pas de les citer comme exemple afin de prouver à quel point une thérapie peut être efficace. Vous pouvez aussi demander à celui qui a déjà consulté d’avoir une discussion avec votre proche afin de l’aider à vaincre ses peurs et pour répondre à ses questions. 2 Traitez chaque peur avec logique. La logique et la raison sont les seules choses qui peuvent démanteler avec succès les pensées négatives et les peurs. Si votre ami est effrayé par le fait que la thérapie devienne un cycle sans fin, faites-lui comprendre que ce ne sera pas le cas. La plupart des thérapies comportementales cognitives durent entre 10 et 20 séances, même si certaines peuvent continuer sur des périodes plus ou moins longues ou courtes [6] . Certaines séances de psychothérapie peuvent durer de 1 à 2 ans en fonction des problèmes traités, alors que dans le même temps certains patients se sentent mieux après juste une séance [7] . De plus, souvenez-vous, votre proche peut toujours décider qu’il en a assez des séances. Ce n’est pas un contrat d’obligations. Si votre être cher est effrayé par le cout de la thérapie, aidez-le à trouver des thérapeutes qui sont couverts par l’assurance ou qui offrent des tarifs réduits. Peu importe ce qui effraye votre ami ou votre bienaimé, essayez d’éliminer chaque inquiétude en lui disant Cela ne sera pas un problème » tout en lui offrant quelques solutions ou approches de solutions. Certains psychologues offrent des consultations gratuites par téléphone avant de fixer un rendez-vous. Cela pourrait fournir à votre proche une occasion de poser des questions à propos de ses peurs. Cela lui permettrait aussi d’apprendre à connaitre le psychologue. 3Aidez votre être cher à trouver un psychologue. En effectuant des recherches en ligne, vous pouvez facilement parvenir à trouver un thérapeute qui correspondra aux besoins de votre proche. L’Association française contre la dépression et les troubles bipolaires permet d’entrer en contact avec des psychologues. Visitez son site au 4Proposez-lui de l’accompagner au cabinet pour sa première visite. Vous ne serez probablement pas capable d’être avec lui durant la séance, mais le fait qu’il sache que vous êtes là pour le soutenir pourrait l’aider à accepter plus facilement la thérapie. Certains psychologues pourraient même vous permettre de participer à la séance, bien entendu avec le consentement de votre proche [8] . 1 Dites à votre amie que le médecin sera discret. Informez votre proche concernant le secret professionnel qui existe entre un docteur et son patient. Ce que votre proche dit au cours des séances est généralement protégé et confidentiel [9] . Souvenez-vous que ces lois diffèrent selon les départements et les pays, mais tous les psychologues sont tenus de divulguer les détails de la clause de confidentialité, aussi bien verbalement que par écrit. Vous pouvez demander une copie de l’accord de consentement avant de prendre rendez-vous. 2 Demandez à votre proche les raisons de sa frayeur. Si votre amie a peur en raison de sa vulnérabilité, rappelez-lui que pleurer ou parler d’un problème avec une personne tierce peut soulager énormément. Selon de récentes études, près de 89 % des gens se sentent mieux après avoir eu une poussée émotionnelle comme le fait de pleurer [10] et les médecins recommandent fortement de parler de ses problèmes pour se soulager [11] . Essayez de dire à votre proche ou à votre ami C’est normal que tu t’ouvres à quelqu’un. C’est à cela que servent les amis et les partenaires. Tu dois construire une relation de confiance avec ton thérapeute et l’honnêteté est toujours la meilleure façon d’y parvenir. » Rappelez à votre proche que démêler les sentiments peut être effrayant, surtout si ces derniers avaient été refoulés. Néanmoins, les psychologues sont formés pour aider les patients à gérer leurs sentiments de façon saine, dans le but d’éviter d’être submergés par eux. 3 Rappelez à votre être cher quel résultat il peut s’attendre à avoir. Le pire qui puisse découler du fait de suivre une thérapie est que rien ne change. D’un autre côté, dans le meilleur des scénarios, votre proche y tirera du soulagement, du réconfort et aura une nouvelle vision des choses. Réaffirmez à votre proche que vous tenez à lui et que vous êtes présent pour lui, quoi qu’il arrive. Encouragez votre être cher à s’ouvrir et à faire preuve de franchise avec le psychologue tout en lui expliquant tout ce qui ne va pas. Ce dernier peut avoir une approche différente à tenter ou en cas d’échec il peut toujours rediriger votre proche vers un autre psychologue plus à même de l’aider. Conseils Suggérez à votre proche de parler avec son docteur par rapport au besoin de suivre une thérapie et de demander des recommandations ainsi que de l’assistance via ce canal. Ceci est important parce qu’un psychologue ne peut pas prescrire des médicaments à moins qu’il ne soit qualifié pour le faire. Son docteur pourrait envisager d’intégrer des antidépresseurs ou d’autres médicaments à son traitement général. Aidez votre proche à trouver un psychologue en ligne. Proposez de fixer les rendez-vous à sa place s’il est trop nerveux pour le faire lui-même. Essayez des sites de recherche en ligne pour trouver un spécialiste dans votre région. Avertissements Si la personne en question a des tendances suicidaires, ne perdez pas de temps à tergiverser. Cherchez à obtenir immédiatement de l’aide d’un professionnel. Vérifiez toujours les références du psychologue choisi. Chaque médecin a des références professionnelles que vous pouvez vérifier par téléphone ou en ligne. En cas de doute, contactez les associations qui s’occupent de la gestion des professionnels du domaine. Le médecin qui s’occupe du bienêtre de votre bienaimé devrait aussi vous aider à vérifier toutes les informations nécessaires. Cet article contient des informations médicales ou des conseils pouvant affecter votre santé. wikiHow s'efforce de proposer du contenu aussi précis que possible, mais ne peut en aucun cas être responsable du résultat de l'application liste non exhaustive des traitement, des techniques, des médicaments des dosages et/ou méthodes proposées dans ce document. L'utilisateur en assume la pleine les symptômes persistent plus de quelques jours, allez voir un professionnel de la santé. Lui seul est apte à vous fournir un avis médical, quelle que soit votre condition. S'il s'agit d'un jeune enfant, consultez un pédiatre sans numéro des urgences médicales européen est le 112 Vous retrouverez les autres numéros des urgences médicales pour de nombreux pays en cliquant ici. Références À propos de ce wikiHow Cette page a été consultée 12 305 fois. Cet article vous a-t-il été utile ?
4conseils pour mieux vivre avec son empathie. 1. Prenez du recul. Dupliquer les émotions de quelqu’un qui va mal et vous parle de ses problèmes ne va pas l’aider à aller mieux. Vous devez à tout prix prendre conscience que les problèmes des autres ne sont pas les vôtres. Concentrez-vous sur ce qui vous appartient, ce qui est à vous Comment aider un proche atteint de dépression ? La famille, les amis pensent souvent que la personne dépressive pourrait s’en sortir si seulement elle le voulait bien ». Mais, il ne faut jamais oublier que la dépression est une véritable maladie et non un choix du patient. Il est important que les proches arrivent à comprendre à quel point il est difficile de se défaire de l’emprise de la dépression, ainsi il leur sera beaucoup plus facile d’accepter et de tolérer cette situation. Pour aider au mieux, il faut s’informer sur la dépression, en connaître ses symptômes, ses causes, ses traitements. Il est essentiel de considérer le malade comme une personne à part entière, capable de prendre des décisions, ou si son état ne le permet pas, de l’impliquer au maximum dans ses prises de décisions. On n’aide pas l’autre en décidant à sa place, en l’infantilisant. Etre aidant La personne dépressive est très souvent confrontée à différentes pertes perte éventuelle de son emploi, perte de son rôle au sein du couple, de la famille, diminution de son autonomie, perte de confiance en soi,… Toutes ces pertes sont difficiles à vivre et peuvent générer de la colère, de la frustration, une baisse de l’estime de soi, etc. Etre aidant, c’est avant tout écouter, être disponible, compréhensif, soutenir avec bienveillance, rassurer. Il faut être attentif aux paroles prononcées, elles peuvent avoir un impact non négligeable chez la personne malade. Il est vivement conseillé d’éviter les paroles telles que fais un effort », secoue toi », fais preuve de bonne volonté ». Le discours moralisateur n’a pas sa place et ne fait que renforcer le sentiment d’indignité et de culpabilité du malade. De plus, ce type de paroles peut avoir comme effet sur la personne malade, de retarder la 1ère étape du processus de guérison qui est la RECONNAISSANCE et l’ACCEPTATION de la maladie. Des paroles telles que tu as tout pour être heureux », il n’y a pas de raison que tu sois triste », sont ressenties comme le signe d’une incompréhension, d’une non reconnaissance de la souffrance ressentie par la personne dépressive. Ce sentiment d’incompréhension, le renforcement de la culpabilité par rapport à sa maladie peuvent être des éléments aggravants de la symptomatologie dépressive et peuvent favoriser des idées suicidaires. Etre aidant, c’est également observer les évolutions du comportement de la personne dépressive par rapport à elle -même image corporelle, hygiène, apparence, appétit. à autrui mutisme, repli sur soi, agressivité, instabilité d’humeur, manque de motivation, baisse ou arrêt des activités. aux soins mauvais suivi du traitement médicamenteux, mauvaise observation du traitement, refus ou ambivalence de soins. aux sorties difficultés à se rendre au travail, arrêt des loisirs, confinement à domicile, refus de voir ses amis. au quotidien difficultés ou refus de s’impliquer dans les tâches domestiques, négligence de l’entretien de la maison. Etre aidant, c’est ne rien prendre pour soi La personne dépressive est en souffrance, elle peut tenir des paroles, des propos blessants, car elle est submergée par certaines émotions la tristesse notamment. Il est important de ne pas prendre ces paroles trop à cœur. Etre aidant, c’est être patient Les progrès sont parfois lents, très lents. Etre aidant, c’est fournir l’aide que vous êtes prêt à donner tout en laissant sa part d’autonomie à la personne Etre aidant c’est fournir l’aide que l’autre est prêt à accepter. C’est montrer l’exemple encourager la personne à mener une vie saine, c’est l’accompagner éventuellement dans certaines de ses activités, l’emmener à un rendez-vous, faire ses courses, chercher ses enfants à l’école,… Etre aidant, c’est rester confiant Montrez à la personne que vous croyez en elle, en sa capacité à aller mieux. Etre aidant, c’est reconnaître et accepter ses limites Il faut accepter ses limites psychiques, physiques et matérielles pour ne pas s’épuiser. Etre aidant, c’est conseiller La personne à consulter son médecin traitant, son psychiatre, son thérapeute. C’est l’inviter à suivre ou poursuivre son traitement. Etre aidant, c’est ne pas avoir peur d’évoquer les idées suicidaires. La guérison est une démarche personnelle qui est entre les mains de la personne malade. Voici quelques phrases, attitudes positives à l’égard du patient dépressif Attitude de compréhension, d’acceptation Je comprends que tu n’aies pas envie de beaucoup bouger » Je respecte ton désir de ne rien vouloir faire pour l’instant et de vivre au ralenti mais je suis disponible pour entreprendre des activités avec toi » Ce n’est pas ta faute. Tu n’es pas responsable de ce qui t’arrive. Nous sommes tous autour de toi pour t’aider à t’en sortir et tu t’en sortiras » Attitudes de collaboration Je vais t’aider, tu peux compter sur moi pour faire les démarches nécessaires auprès de ton employeur et de la caisse de maladie » Je suis prête à t’écouter si tu as envie de parler ou à rester près de toi sans rien dire si tu le désires. Nous avons tous envie que tu guérisses » Attitudes rassurantes C’est difficile ce que tu vis aujourd’hui mais ta maladie est guérissable, il faut que tu ailles voir un médecin » Tu es fatiguée, sans envie, il t’est difficile d’entreprendre des choses pour le moment. C’est un passage pénible, mais on va t’aider à t’en sortir » Outil interactif L'arbre des possibilités Quiz L'entourage d'une personne dépressive 1 Soyez radicalement honnête et améliorez votre niveau d’exigence. C’est la partie la plus difficile lorsque nous voulons quitter quelqu’un qu’on aime. Pour rompre les liens avec une personne à laquelle vous êtes très attaché, vous devrez vous sentir mal à l’aise.Vérifié le 03/02/2022 par PasseportSanté Sommaire Quoi dire?Quoi faire pour aider au moment du diagnostic?Comment réagir devant des pleurs ou de la colère?Comment offrir de l'aide?Quoi dire? C'est malheureux, mais souvent, c'est à ce moment qu'on va dire les pires banalités. Les patients nous disent qu'ils se font dire des phrases creuses, comme "je sais ce que tu ressens", "c'est juste un mauvais moment à passer", "ne t'en fais pas, les médecins savent ce qu'ils font"...Pour être aidant, il suffit d'écouter et d'offrir notre disponibilité. Dire "je suis là ", "tu es important pour moi et tu peux m'appeler quand tu veux", "s'il y a quelque chose que je peux faire pour rendre ça moins lourd pour toi, je le ferai volontiers". Si on préfère, simplement tenir la main de la personne et se taire, c'est déjà beaucoup. »Quoi faire pour aider au moment du diagnostic?Il est souhaitable que la personne soit accompagnée lors de ses rendez-vous médicaux importants, soutient le Dr Quenneville. Surtout lorsqu'elle s'attend à recevoir les résultats d'examens médicaux. Un diagnostic de maladie grave ou chronique n'arrive jamais de façon soudaine », rappelle-t-il. En effet, dans les semaines ou les mois qui précèdent, des symptômes et des examens médicaux ont éveillé des le médecin prononce le mot fatidique - cancer, sclérose en plaques, maladie de Parkinson, etc. -, le patient entre en état de choc, explique Dr Quenneville. Sa capacité à absorber l'information diminue beaucoup. Certaines personnes diront même qu'elles ne se rappellent plus ce que leur médecin leur a dit. Le choc est trop un proche est à ses côtés, ce dernier peut ensuite lui demander ce qu'il a retenu sur la maladie et les traitements, et vérifier s'ils ont compris la même chose. C'est une bonne idée que l'accompagnant prenne des notes durant le rendez-vous. On cerne alors plus facilement les sujets à personne qui reçoit le diagnostic risque fort de réagir émotivement à la nouvelle, par des larmes, des injures... Un contrecoup tout à fait normal dans les moyen d'apporter du réconfort à la personne qui vient d'apprendre qu'elle est malade est simplement d'accueillir et d'accepter sa réaction, quelle qu'elle soit, soutient le Dr Quenneville. Concrètement, cela se fait en lui signifiant que sa réaction est correcte. Il n'y a pas de bonne ou de mauvaise façon de recevoir un diagnostic. Je peux penser que je ne réagirais probablement pas de la même façon qu'elle, poursuit le Dr Quenneville. Mais il faut accepter que c'est sa façon de réagir. »Le diagnostic ébranle la vie à plusieurs égards, explique-t-il On est assez confortable dans notre vie, on a confiance en l'avenir puis, soudain, tout ce qui avait été prévu, tout ce qu'on tenait pour acquis et qui pourtant ne l'était pas, est menacé de nous échapper. »D'abord et avant tout, se montrer disponible, suggère le Dr Quenneville S'il y a quelque chose que je peux faire pour toi, je voudrais que tu saches que je suis disponible à tel moment et que je vais faire ce que tu vas me demander de faire. » Et bien entendu, tenir parole le moment ligne est cependant mince entre aider l'autre et décider pour l'autre. C'est au malade et non aux aidants naturels de déterminer à quel moment et de quelle façon l'aide sera offerte, soutient le Dr article vous-a-t-il été utile ?À lire aussi
Utilisezl’humour pour relâcher la tension. Utilisez l’humour pour vous aider Ă faire face Ă ce qui vous met en colère et, peut-ĂŞtre, toutes les attentes irrĂ©alistes que vous avez de la façon dont les choses devraient aller. Évitez le sarcasme, il peut blesser les sentiments et aggraver les choses. Aider, ĂŞtre aidĂ© Dans la mĂŞme rubrique J'ai dĂ©couvert que mon enfant se drogue Il ne veut pas arrĂŞter, que faire ? Comment aider un proche ? Il a repris sa consommation Se faire aider Prendre conscience qu’un proche a un problème de drogue n’est pas chose facile, mais savoir quelle aide lui apporter une fois ce constat Ă©tabli ne l’est pas forcĂ©ment se comprendreLa première dĂ©marche est d’essayer de mieux cerner la situation en entamant un dialogue. Cette proposition d’échange Ă©tant Ă votre initiative, il est opportun de l’aborder Ă partir de l’expression de vos propres ressentis, de vos inquiĂ©tudes ou des tensions que vous faciliter ce dialogue, il est essentiel de favoriser un climat de confiance. Celui-ci passe par une attitude qui invite Ă la confidence en Ă©vitant de braquer votre interlocuteur par l’expression de reproches ou par un rapport de force ou d’autoritĂ©. Laissez Ă votre proche l’occasion d’exprimer sa propre vision de la situation et acceptez-la sans la contester en rĂ©pondant simplement que votre point de vue est votre proche tout en restant Ă votre placeAider un proche vous met Ă une place particulière. C’est Ă la fois ĂŞtre Ă ses cĂ´tĂ©s pour lui proposer un soutien mais Ă©galement ĂŞtre conscient qu’il reste le seul Ă pouvoir rĂ©ellement agir. Ainsi, certaines choses peuvent ĂŞtre de votre ressort, d’autres ne pourrez pas prendre toutes les initiatives Ă sa place, comme les prises de rendez-vous. L’engagement de votre proche dans ses soins est essentiel. Vous pouvez en revanche vous renseigner sur des pistes d’aide et les lui pouvez aussi vous informer sur les moyens de rĂ©duire les risques liĂ©s Ă son usage de votre proche s’injecte ou sniffe sa drogue il peut avoir accès Ă des kits de consommation Ă moindre risque. S’il est consommateur d’hĂ©roĂŻne ou d’un opiacĂ©, vous pouvez ou il peut se procurer un kit anti-overdose Ă base de naloxone en pharmacie Prenoxad ou auprès d’un CAARUD, d'un CSAPA, ou d'une unitĂ© mobile de soins et de rĂ©duction des risques Prenoxad ou Nalscue.En discutant avec lui de ces moyens vous rendez possible un dialogue diffĂ©rent entre vous. C’est une façon d’aider votre proche mĂŞme s’il n’est pas prĂŞt Ă arrĂŞter sa consommationSoutenir votre procheSoutenir votre proche implique de ne pas le dĂ©valoriser, ni de le brusquer en accĂ©lĂ©rant les dĂ©marches ou en lui faisant du chantage. Ces attitudes bloquent gĂ©nĂ©ralement le dialogue et fragilisent la confiance mutuelle. La meilleure manière d’avancer est avant tout de respecter le rythme de l’autre, d’être Ă l’écoute de ce qu’il est prĂŞt Ă entreprendre au fur et Ă mesure de sa rĂ©flexion. Encouragez-le Ă©galement Ă s’appuyer sur d’autres aides que la vĂ´tre Ă travers des professionnels de santĂ© ligne tĂ©lĂ©phonique de soutien, mĂ©decin de famille, consultations en addictologie, etc.. Ils peuvent l’inviter Ă faire le point sur ses difficultĂ©s sans pour autant immĂ©diatement parler de dans l’entourage proche d’un consommateur de drogue peut donner le sentiment de pouvoir faire Ă©voluer la situation. Pourtant, cette place particulière comporte des limites et vous confronte Ă des difficultĂ©s. C’est pourquoi il est aussi important de savoir se faire aider. RetourLe30 aoĂ»t 2018. Se faire larguer n’est jamais très agrĂ©able, mais devoir rompre avec quelqu’un n’est pas un cadeau non plus.. Initier une rupture consiste tout de mĂŞme Ă